La Chine connaît un accueil si transition rocheuse d’une économie tirée par l’investissement et les exportations vers celui dans lequel la consommation et des services privés sont le principal facteur de l’expansion économique. Plusieurs barrages routiers se tiennent dans la façon d’atteindre cet objectif, cependant. Parmi eux, une économie pouvant ralentir résultant de l’élévation du niveau de la dette, un marché immobilier languissante, et décélérer la croissance de la productivité. Les dirigeants chinois ont approuvé des mesures de réforme audacieuses pour réduire les nombreux obstacles au progrès, mais beaucoup de puissants intérêts particuliers opposer à ces changements. La volatilité et l’incertitude accrue entourant l’économie de la Chine et ses marchés financiers ont compliqué les défis auxquels sont confrontés les dirigeants chinois.
Pour faire des progrès sur ces questions et d’autres, la Chine serait bien avisé de conclure de nouveaux accords sur le commerce et l’investissement avec les États-Unis et d’autres partenaires économiques et à ouvrir davantage son compte de capital et de développer ses marchés financiers. Comme les récentes turbulences sur les marchés mondiaux suggère, le Forum problèmes auxquels sont confrontés la Chine affectent l’économie mondiale d’une manière qui sont plus loin que jamais. Ce recueil d’essais par des chercheurs de l’Institut Peterson d’économie internationale (PIIE) fait partie d’une série d’interactions et de discussions avec le Forum Finance Chine 40 (CF40) qui a débuté en 2012. Les communications sont censées éclairer les défis auxquels sont confrontés la Chine comme elles engagent de plus en plus à l’économie mondiale et se fonde sur sa réussite économique phénoménale des trois dernières décennies.
Cette briefing de PIIE commence avec l’évaluation de Nicholas Lardy des sources de la croissance de la Chine d’aujourd’hui, en particulier le secteur des services. Jeffrey J. Schott et Sean Miner soutiennent que l’accroissement du commerce et de l’investissement avec les États-Unis peuvent stimuler les réformes économiques nationales et qu’il est également dans l’intérêt de la Chine de poursuivre des pactes plus commerciaux multilatéraux et plurilatéraux. Jacob Kirkegaard se penche sur la politique budgétaire en Chine, aux États-Unis, et en Europe, et conclut que la Chine devrait accroître la transparence dans les pratiques budgétaires budgétaire du gouvernement local. Tomáš Hellebrandt et Paolo Mauro montrent comment la Chine a été l’un des principaux moteurs de la réduction des inégalités de revenu global dans le passé récent, mais que son rôle futur dans l’amélioration de la prospérité mondiale globale semble susceptible de diminuer. Ils appellent à de nouveaux investissements dans les infrastructures par la Chine et aussi discuter des défis pour la Chine pour faire face à la dégradation de l’environnement et le changement climatique. Robert Z. Lawrence fait valoir que le commerce avec la Chine, plutôt que de faire des Américains les plus pauvres, que l’opinion publique semble penser, soulève effectivement le niveau de vie américains. Enfin, Silvia Merler et Nicolas Véron examinent les défis de la réforme financière en Chine et l’Union européenne. Ils font valoir que la Chine pourrait utiliser le système financier très développé de l’Union européenne en tant que point de référence pour guider le système financier loin de dépendance à l’égard des banques et vers un système plus axé sur le marché.